Alain SCUDELLARO
blog politique participatif
Signer mon livre d'or Faire connaître mon blog Me contacter par mail Flux RSS
Thèmesamis anime bienvenue blog cadeau cadre coeur création divers enfant enfants france
Rechercher Derniers commentairesalalalaaa...po litique de rigeur de madame sofie je vous invite tous à jeter un ptit coupd'oeil pour nepa avoi
Par pisou, le 07.10.2011
amitié alain
Par nicole, le 28.03.2011
demain s'est la victoire à fleurance, tu l'as merite, je t'avais dit que le maire vall n'etait pas pour le ps,
Par patrick, le 26.03.2011
votre victoire à toi et rachel dimanche prochain sera d'autant plus belle que la présence au 2ème tour d'un "s
Par marie-france, le 25.03.2011
tous mon soutien, même si je n'étais pas à la soirée. amitié
Par auscitaine, le 24.03.2011
· UNE POLITIQUE DE RIGUEUR
· le soutien de ségolène royal
· Bienvenue sur le blog de campagne d'Alain Scudellaro
· Avec Philippe MARTIN et Gisèle BIEMOURET
· Alain Scudellaro au travail pour mars 2011
· NOUVEAU SUCCES POUR LE DERNIER MEETING DE CAMPAGNE
· LE FEDER: Bilan à mi parcours
· GROS SUCCES POUR LE DERNIER MEETING
· MERCI
· Réunion avec le Président Philippe MARTIN
· LE SOUTIEN DE CLAUDE GALLARDO
· La flambée du pétrole
· Les échos de la presse
· PROFESSION DE FOI
· REUNION PUBLIQUE A FLEURANCE
· EAG 32
· Désirs d'avenir
· Nicolas Labeyrie
· Mickaël Boutines
· Cyril Cotonat
Date de création : 01.10.2010
Dernière mise à jour :
28.03.2011
32 articles
Avant tout je tiens à remercier les militants de la section du parti socialiste de Fleurance qui m'ont accordé leur confiance dans la course à l'investiture PS pour les prochaines élections cantonales.
Nous allons ensemble nous mettre en marche pour gagner en mars 2011. Ce blog sera un espace de propositions, de réflexions et d'analyses de notre territoire, je tiendrai régulièrement à jour les rubriques, afin d'en faire un outil moderne, interactif et convivial au service des électrices et des électeurs du canton.
A bientôt
" Il ne faut avoir aucun regret pour le passé, aucun remords pour le présent, et une confiance inébranlable pour l'avenir " Jean Jaurès
Parce qu'une élection ne se prépare pas à la légère, Alain Scudellaro a su s'entourer des personnes expérimentées afin de lui apporter un maximum d'informations pour présenter un projet au service des citoyens du canton de Fleurance.
Dernièrement il déjeunait à Paris en présence de Mme Françoise IMBERT-POUVILLON Députée de la Haute-Garonne et fleurantine de coeur où elle aime venir voir sa famille, Mr Germinal PEIRO Député-Maire de Dordogne et spécialiste des questions agricoles et des retraites au PS, enfin Mr Yvon MONTANE Ancien Député et Maire de Mauvezin.
Lors des dernières élections régionales, Alain Scudellaro faisait partie de la liste de Martin MALVY qui remporta le plus haut score de France.
Visites de terrain, rencontres avec les gersoises et les gersois, visites d'entreprises, réunions publiques,...
Lors d'un petit déjeuner à l'Assemblée Nationale, rencontre avec des amis soutiens d'Alain Scudellaro: Mr Frank MONTAUGE Maire et Président du Grand Auch et Michel PETIT Maire de SAINT-MONT, entourés par Philippe MARTIN Député, Président du Conseil Général du Gers et Gisèle BIEMOURET Députée de la deuxième circonscription
Paris, le 10 décembre 2010 Communiqué Elisabeth Guigou, Secrétaire nationale chargée de la réforme de l’Etat et des collectivités territoriales. La décision du Conseil constitutionnel relative à la loi de réforme des collectivités territoriales souligne la tentative de manipulation électorale par le gouvernement. Suite à sa saisine par les parlementaires socialistes, le Conseil Constitutionnel a statué le 9 décembre sur la loi de réforme des collectivités territoriales. Le Parti socialiste se félicite de cette décision par laquelle les sages ont censuré l’article 6 de la loi ainsi que le tableau annexé qui fixe le nombre de conseillers territoriaux par départements, jugeant que les écarts trop importants de représentation dans six départements portaient atteinte au principe d’égalité devant le suffrage. Le Conseil valide donc notre analyse. Le gouvernement a tenté, avec cette réforme, de procéder à une lamentable opération de tripatouillage électoral. Le Conseil l’a légitimement rappelé à l’ordre. Pour le reste, le rendez-vous est dans les urnes. La réforme du gouvernement procède à une véritable recentralisation et menace d’étranglement financier les collectivités territoriales. Le Parti socialiste continue la lutte sur le terrain politique et appelle les Français à se mobiliser en mars prochain, à l’occasion des élections cantonales, pour exprimer leur rejet de cette réforme et des orientations voulues par N. Sarkozy. Le Parti Socialiste, fidèle à l’héritage républicain, propose un nouvel acte de la décentralisation. Il rappelle qu’il abrogera cette contre-réforme des collectivités territoriales dès son retour aux responsabilités et mettra en œuvre une grande réforme de progrès, qui permettra aux collectivités d’être consolidés pour agir au service de la solidarité, de l’emploi, du développement économique et de l’aménagement du territoire. Une réforme qui permettra à la démocratie d’être étendue et aux services publics locaux d’être renforcés.
Dernièrement se tenait une réunion de travail, en présence du premier fédéral, du président Philippe Martin des conseillers généraux, des candidats et des militants et sympathisants du PS. Prochainement aura lieu une conférence de presse pour le lancement de la campagne pour l'ensemble du Gers avec présentation du programme.
UNE POLITIQUE DE RIGUEUR Voici les principales mesures votées par la droite et qui vont entrer en vigueur en 2011: - L'impôt sur le revenu passe de 40 à 41% pour la tranche d'imposition la plus élevée: c'est la "Contribution solidarité vieillesse" destinée à financer la réforme des retraites. - Suppression de l'avantage fiscal aux mariés, pacsés et divorcés de l'année - Retraites-chapeau taxées à sept pour cent par mois entre 500 et 1.000 euros, à 14% au-delà de 1.000 euros - Amendement dit "Tapie" : taxation des dommages et intérêts supérieurs à un million d'euros. - Gel de la dotation aux collectivités locales. - Emploi à domicile : suppression de l'abattement sur les cotisations sociales des particuliers-employeurs. - Accès à la propriété : création d'un prêt à taux zéro renforcé, fin de la déduction fiscale des intérêts de l'emprunt - Rétablissement d'un forfait de 30 euros pour bénéficier de l'Aide médicale d'Etat (à destination des étrangers sans-papiers disposant de moins de 600 euros par mois) - Plus-values immobilières : pas d'imposition de contribution sociale généralisée sur les plus-values immobilières en attendant la réforme fiscale de 2011. - Renvoi à un décret de la hausse des amendes de stationnement de 11 euros (François Baroin table sur une hausse de 15 à 20 euros d'ici la fin de l'année). - Crédit d'impôt de 5% maintenu pour les investissements dans la recherche des entreprises qui dépassent 100 millions d'euros (30% de réduction d'impôt en dessous de ce seuil). - Réduction d'Impôt de Solidarité sur la Fortune ramenée de 75 à 50% pour l'investissement direct ou indirect d'un particulier dans une Petite et Moyenne Entreprise, dans la limite de 45.000 euros. - Enseignement : quatre millions d'euros en faveur de l'enseignement privé. - Suppression de la publicité en journée sur France Télévisions reporté à 2016. - Baisse de 0,75% à 0,5% de la taxe sur le chiffre d'affaires des chaînes privées. - Hausse du taux de TVA sur les offres "triple play" (internet/téléphone/télévision) de 5,5 à 19,6%. - Taxe dite "Google" de un pour cent à la charge des annonceurs qui achètent des espaces publicitaires en ligne. Elle entrera en vigueur au 1er juillet 2011. - Taxe à la valeur ajoutée (TVA) sur le livre numérique ramené de 19,6% à 5,5%, au 1er janvier 2012. (Nouvelobs.com avec AFP)
Bilan à mi-parcours du programme européen régional soutenu par le FEDER
15 décembre 2010
L’Union européenne investit 430 millions d’euros en Midi-Pyrénées pour la période 2007/2013 à travers le programme « Compétitivité régionale et emploi » soutenu par le Fonds européen de développement régional (FEDER). Depuis 2007 en Midi-Pyrénées, 1394 projets ont bénéficié du soutien de ce programme, correspondant à un investissement de plus de 220 millions d’euros de FEDER. Adopté en 2007, le programme arrive cette année à mi-parcours. Les partenaires du programme ont lancé un processus d’évaluation dès décembre 2009 pour aider les décideurs à porter un jugement sur le programme et sur l’opportunité de sa mise en révision. Le bilan et l’évaluation L’évaluation menée en 2010 a porté sur les résultats financiers du programme, sa mise en œuvre, les premiers résultats obtenus par rapport aux objectifs fixés en 2007 et sa pertinence au regard de l’évolution du contexte socio-économique. Le programme présente un niveau d’avancement financier très satisfaisant avec un taux de programmation de 74% du coût total et 51% du FEDER début décembre. Ce niveau global de programmation recouvre toutefois des réalités différentes avec des domaines qui présentent un fort dynamisme et d’autres, tout aussi pertinents, mais pour lesquels les objectifs du programme ne pourront être atteints dans les délais impartis. Ainsi l’évaluation a mis en exergue des besoins importants dans les domaines de la recherche, de l’éducation au développement durable, de l’aide aux entreprises, du développement de la société de l’information et des interventions urbaines. L’évaluation a montré que l’aide apportée par le programme à la recherche, l’innovation et aux entreprises dès 2007 a contribué à atténuer les effets de la crise dans ces secteurs. Ces besoins ont confirmé la pertinence de la stratégie régionale du Programme Opérationnel FEDER mais ne peuvent pas tous être satisfaits par la répartition financière adoptée en 2007. La révision du programme Les premiers résultats de l’évaluation et la concertation menée au niveau régional ont ainsi convaincu le partenariat de procéder à une révision du programme. La révision se déroulant à enveloppe constante la proposition de révision porte essentiellement sur une nouvelle répartition financière entre les axes du programme afin de pourvoir aux besoins identifiés: • Le développement de la compétitivité des entreprises par une politique de soutien ciblée sur l’aide aux projets, l’innovation et la professionnalisation des acteurs : + 20 millions d’euros • L’information et l’éducation à l’environnement et au développement durable : + 1 million d’euros • L’amélioration de l’accessibilité et de l’attractivité du territoire par le développement des technologies de l'information et de la communication : +10 millions d’euros • Le soutien des projets urbains de Toulouse et Montauban : + 4 millions d’euros Le 16 novembre 2010, le comité de suivi des programmes européens a validé ce projet de révision du programme présenté conjointement par le préfet de la région Midi-Pyrénées et par le président du Conseil régional.
Gel du SMIC : un nouveau coup dur portés aux salariés En France, alors que 10 % des salariés sont rémunérés au SMIC, c’est la quatrième année consécutive que le Gouvernement refuse de faire un geste envers eux. Il vient de décider une quasi-stagnation du SMIC, correspondant au strict minimum de l’obligation légale, soit une « augmentation » de 14 centimes d’euros par heure. Nicolas Sarkozy s’était pourtant ému lors de la campagne présidentielle que les salaires « étaient trop bas, les revenus trop faibles » et voulait s’adresser « à la France qui travaille dur et qui pourtant trouve qu’on n’arrive pas à joindre les deux bouts ». Cette décision est dans la ligne droite de la politique menée par ce gouvernement : elle est socialement injuste et économiquement inefficace. Socialement injuste, parce qu’avec environ 1 055 euros net par mois on a du mal, non à vivre, mais bien à survivre. Alors qu’on apprend que les patrons des 40 plus grandes entreprises françaises ont gagné en moyenne 190 fois le salaire minimum au plus dur de la crise, que les charges fixes des ménages ne cessent de s’accroitre (électricité, gaz etc…), le gouvernement fait payer la facture des dettes qu’il a creusées depuis huit ans aux salariés les plus modestes. Cette non revalorisation est dramatiquement inefficace d’un point de vue économique. La France n’est pas sortie de la crise et le soutien au pouvoir d’achat des ménages, et donc de la croissance, devrait être une priorité pour assurer une reprise durable. Le Parti socialiste demande au gouvernement de prendre ses responsabilités, notamment celle qui lui incombe d’assurer aux Français un niveau de rémunération de leur travail décent.
AGRICULTURE - La loi de finances 2011 prévoit une diminution des aides au bio... Plusieurs organisations agricoles et de défense de l'environnement ont dénoncé la baisse des aides à l'agriculture biologique, ce que conteste le gouvernement qui «réaffirme son engagement» pour le secteur. Le Fonds mondial pour la nature (WWF) a estimé mardi dans un communiqué que la réduction du crédit d’impôt en faveur de l’agriculture biologique, prévue dans le budget 2011, était «une ineptie». «Les économies qui seront réalisées à cette occasion, quelques millions d’euros gagnés, apparaissent dérisoires face aux enjeux pour l’environnement et la santé», selon WWF. Réduction de moitié du crédit d'impôt pour les reconversions au bio La loi de finances votée à la mi-décembre prévoit une réduction de moitié --de 4.000 à 2.000 euros-- du crédit d'impôt dont pouvaient bénéficier les agriculteurs, convertis au bio. Cette mesure visait surtout à aider les petites exploitations. Tout en réaffirmant «leur engagement en faveur du développement» de l'agriculture biologique, les ministres de l'Ecologie et de l'Agriculture ont fait valoir qu'en 2011, la France bénéficiera d'une augmentation des aides européennes. Celles-ci s'élèveront à 84 millions d'euros (conversion et maintien) contre 71 millions en 2010, soit une hausse de 18%, ont précisé Nathalie Kosciusko-Morizet et Bruno Le Maire. Le secteur continuera par ailleurs à bénéficier d'un crédit d'impôt jusqu'en 2012, de 2.000 euros par exploitation. Cette mesure pourra être cumulée aux aides européennes jusqu'à 4.000 euros au total et permettra ainsi de compenser «la réduction» du crédit d'impôt, selon le communiqué. Seulement 6% des terres en bio Ces derniers jours, les critiques se sont multipliées contre cette baisse alors que la France, avec 2,6% des terres agricoles consacrées à la production biologique, peine à atteindre les objectifs du Grenelle (6% des terres bio en 2012 et 20% en 2020). «Il s'agit d'une véritable trahison, d'un reniement insupportable», selon François Veillerette, porte-parole de Générations Futures. La Fédération nationale d'agriculture biologique (FNAB) a exprimé son «mécontentement» et sa «déception». Le montant de cette aide ne s'élèvera désormais plus qu'à 17 millions d'euros, selon la FNAB qui qualifie cette baisse de «scandaleuse» face aux 196 millions d'euros octroyés à la filière agro-carburants. La FNAB souhaite que les cotisations payées par les agriculteurs bio reviennent désormais à leur secteur. «Aujourd'hui les cotisations versées par les agriculteurs, y compris par ceux qui font du bio, financent l'agriculture traditionnelle. Il faut que cela cesse», a déclaré à l'AFP Dominique Marion, président de la FNAB. La Confédération paysanne, syndicat agricole classé à gauche, a dénoncé pour sa part les «économies de bout de chandelle» du gouvernement. La France compte 20.000 agriculteurs bio. Leur nombre augmente d'environ 30% chaque année mais l'Hexagone figure loin derrière d'autres pays européens dans le classement de l'agriculture bio. —© 2011 AFP